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RCK 1987/1988 SALAH ASSAD
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9ème journée Score final: RCK 1-ASMO 2 Contre toute attente l'issue de cette confrontation contre les asémites a été une véritable douch...
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Debout de gauche à droite : Kaci Said, Boumaraf, Safsafi, Cerbah, Bouzama, Drici Accroupis de gauche à droite : Meghichi, Kaboul, Selmi, Ass... -
Il y'a de cela un peu plus de 22ans, plus exactement le 12 Février 1987 a eu lieu l'un des événements les plus tragiques de l'hi...
10 commentaires:
http://www.jeune-independant.net/pages/sport5.htm
Interview de Mr Omar Rebrab sur le jeune indpendant.
Omar Rebrab revient sur son départ du RC Kouba et annonce :
«On m’a proposé de prendre la JSK, mais j’ai refusé»
Depuis le départ d’Omar Rebrab du poste de président du RC Kouba, le club banlieusard n’arrive plus à redresser la barre, comme en témoigne la loge qu’il occupe au classement général. Pour la plupart des supporters koubéens, les jours à venir ne sont pas faits pour assainir la situation d’un club qui avait battu de grosses cylindrées de l’élite cette saison.
Retour sur la décision irrévocable de l’homme fort de Hyundai qui nous a reçus dans son bureau pour nous faire aussi le point sur d’autres volets.
Le Jeune Indépendant :
Certains supporters du RCK, pour ne pas dire la majorité, ne comprennent pas pourquoi et n’arrivent pas encore à croire aujourd’hui que vous avez quitté leur club fétiche…
Omar Rebrab : En décidant de me retirer du poste du président du RC Kouba, je dois signaler d’abord que c’est une décision mûrement réfléchie. Donc, je ne reviens jamais sur une décision que je prends au préalable. L’histoire retiendra qu’aucun dirigeant n’a fait accéder le RCK en moins de deux années. Moi, je l’ai fait. J’ai consacré mon temps, mon argent et mon savoir-faire et, en contrepartie, je n’ai pas reçu le moindre petit merci.
Cela m’a touché mais, bof, c’était facile à panser. Par contre, ce qui m’a fait encore le plus mal, c’est de constater avec beaucoup d’amertume que ce sont les gens du RCK qui ont créé le problème. Un problème interne et c’est grave ! Croyez-moi, si c’était venu de l’extérieur, j’aurai accepté car, de nos jours, on comprend que ce sont les coulisses du football et c’est aussi de bonne guerre, mais quand ça vient de l’intérieur du club, cela n’a pas de qualificatif et je n’arrive pas à trouver les mots pour vous clarifier cet état de fait. Ce que je sais, c’est que j’ai tout donné au RCK et, en retour, je n’ai rien reçu.
Juste après l’accession du RCK, on avait l’impression, avec vos desseins, que vous vouliez révolutionner le football au sein de cette équipe. C’est du moins l’avis des connaisseurs, notamment ceux qui portent dans le cœur ce club banlieusard ?
Oui, c’était ma priorité. Je comprends aujourd’hui la situation des vrais supporters koubéens mais, comme je vous l’ai dit, je pense qu’à Kouba, il y a de bonnes et de mauvaises personnes qui gravitent autour du club. Franchement, mon vœu était de réunir tout ce beau monde et faire de lui un 100 % d’une qualité exceptionnelle. Mais quand vous avez en face des citoyens koubéens ne cherchant que leurs intérêts personnels et non ceux du club, je pense que ces gens-là n’ont pas leur place. C’est malheureux de le dire mais c’est la triste vérité qui est en train de se passer au sein de ce club. Je sais aussi qu’il y a des gens qui sont très contents de me voir partir mais, moi, je n’ai rien à perdre. Le RCK allait descendre. Il faut revenir à l’histoire et il était avant-dernier. En moins d’une année, je l’ai fait monter à la 6e place. Si j’avais pris le club deux mois auparavant, il aurait accédé en division une malgré tous les aléas et les imprévus que nous avons vécus.
On n’a pas critiqué votre gestion ?
Mais qui pouvait le faire ? Nous avons travaillé dans la transparence et dans la sérénité. J’ai parfois calmé les esprits lorsque des soulèvements voulaient faire leur apparition. Là, je veux parler de notre affaire concernant l’accession. J’ai calmé tout le monde en disant que nous aurons notre droit par la justice. Par la suite, et comme vous le savez, nous avons été plus loin. Quel est le club qui est allé jusqu’au TAS de Lausanne ? Personne ne l’a fait mais, moi, je l’ai fait ! Je n’ai fait que mon devoir pour démontrer que nous avions le droit et ce droit, le RCK l’a eu. Je profite de l’occasion pour remercier tous ceux qui ont cru en moi et ceux qui m’ont soutenu dans les moments difficiles.
Ainsi, c’est toute votre équipe qui a quitté le bateau koubéen…
Oui. Nous ne pouvions continuer à travailler de la sorte. Il y a trop d’entraves qui ne nous permettent pas de tracer nos objectifs. Il faut comprendre que certaines gens ne veulent pas que le RCK retrouve son lustre d’antan. Aucun dirigeant n’a proposé un autre sponsor et on a l’impression qu’ils ne sont là que pour créer des problèmes. Je ne parle pas de mon équipe mais des autres dirigeants qui se voulaient être bénévoles alors que j’avais proposé de leur donner des salaires. Ces derniers ne voulaient pas car, une fois salariés, vous pouvez les contrôler et les gérer comme il se doit. En étant bénévoles, ils peuvent quitter le club quand bon leur semble.
Aussi, il faut savoir que le président de la section football, Kamel Oughlis, a jusque-là sorti de sa poche près d’un milliard de centimes et il n’a rien reçu en contrepartie. C’est vous dire tous les sacrifices auxquels nous avons fait face.
Au lendemain de votre départ du RCK, on vous annonce à la tête de la JSK.
Aujourd’hui, ce n’est pas le cas…
Je ne vous le cache pas. On m’a proposé de devenir le président de la JS Kabylie mais j’ai refusé.
Pourtant, la JS Kabylie est un club prestigieux…
Je le sais, mais j’ai refusé tout bonnement de la prendre.
Et quelles en sont les raisons ?
Elles sont d’ordre personnel. Il y a deux clubs que je ne prendrai jamais.
Lesquels ?
La JS Kabylie et le MC Alger.
Pourquoi spécialement ces deux équipes ?
Parce qu’elles mélangent le football et la politique. Et moi, je ne fais pas de politique.
Vous ne regrettez pas d’avoir remis le tablier et laisser le RCK ?
Ecoutez, il y a un proverbe de chez nous qui dit qu’une seule main ne peut applaudir. Aujourd’hui, les Koubéens doivent prendre leur responsabilité. Je parle en connaissance de cause mais, seul, je ne peux ramener tout même si j’ai tout donné à ce club Vous savez, on m’envoie un courrier me donnant instruction d’enlever du stade un panneau publicitaire. Aussi, j’avais présenté un plan de programme à l’APC pour que le club puisse s’autofinancer à l’avenir et on me répond par la négative. Les gens pensent que j’ai une machine à fabriquer des billets de banque. Quand j’ai signé le contrat avec le RCK pour une durée de 15 années, j’ai donné 15 milliards de centimes au club. Qui va vous donner quinze ans à l’avance et je ne suis resté que deux ans ? Donc, j’ai préféré ronger mon frein avant de me cogner au mur d’en face et dire par la suite que c’est trop tard.
Pourtant, vous étiez entouré d’une bonne équipe de dirigeants…
Vu de l’extérieur oui, mais pour ne pas porter atteinte au prestige du club, nous avons fait en sorte que les faux problèmes devaient disparaître. Ecoutez, puisqu’on y est, je vais vous raconter une anecdote qui a eu lieu ici dans mon bureau. Je tenais une réunion avec les différents dirigeants du RC Kouba et, à un certain moment, alors que l’on soulevait un problème pécuniaire inscrit à l’ordre du jour, un des dirigeants m’a demandé de sortir cet argent de ma poche en s’exclamant : «Et pourquoi donc on t’a ramené au RCK ?» Vous voyez à quel point l’hypocrisie et la malhonnêteté atteignent leur paroxysme dans un club censé représenter une population éduquée. Ces dirigeants n’ont ramené aucun centime, je dirais mieux, aucun douro.
Le football algérien sortira-t-il de la crise dans laquelle il patauge depuis des années ?
Oui. Je suis persuadé qu’il verra le bout du tunnel. Seulement, il doit faire l’objet d’une nouvelle restructuration et a besoin d’une autre dimension. Je pense qu’avec monsieur Raouraoua, les choses vont bouger dans le bon sens. J’étais très content quand j’ai appris qu’il venait d’être élu à la tête de la FAF. Son retour aux affaires du football va sûrement donner ce coup de fouet qui manquait tant à notre sport roi.
Entretien réalisé par Saïd Lacète
http://www.jeune-independant.net/pages/sport5.htm
exmirou
l'interview de Rebrab sur le jeune independant n'apporte rien de nouveau à ce qu'on savait. Cette sortie médiatique de l'ex-président du RCK me permet de revenir sur certaines choses dites par Rebrab. D'abord, le bureau élu était composé essentiellement d'anciens dirigeants d'avant 1994. Il a repris ceux qui ont fait partie du bureau de Bensemane. Je ne critique nullement ces hommes qui ont donné leur temps et leur argent au RCK à leur époque. La "faute" de Rebrab c'est d'avoir écouter les conseils que lui ont prodigué certains "penseurs". Les anciens dirigeants qu'il a choisi pour faire partie de son bureau offraient un bon profil pour l'image du club. Il aurait été plus intelligent de sa part (Rebrab) de s'informer d'abord au-prés de tous ceux qui connaissent le club et son environnement avant de donner son feu vert. L'élection était une parodie. Les jeux étaient fait d'avance. Aujourd'hui, il se plaint de ces mêmes hommes. Mais dés le départ, ils ne pouvaient rien apporter sauf leur silence en tout. Et c'est déjà une bonne chose. A présent, le RCK doit tourner la page et continuer à vivre sa vie sans Rebrab. La D2 ne changera rien à l'amour, la passion que nous portons pour notre club. Stranger
moi personnelement je dis merci à Mr Rebrab pour tt ce qu'il apporte au Rck et adieu pour vous.
(l'un de supporters koubéens)
il nous reste qu'une seule chance celle de lundi prochain face à l'ASO sinon on dit adieu à D1 alors évitant un faux pas à domicile si on veut rester dans la course de maintien.
il nous faut être intraitable à domicile.
Je lance un appel aux responsables de l'association des anciens athletes du RCK " LES 3A 1945 " de prendre contact en urgence avec le bureau directeur du RCK afin de trouver une sortie a cette crise car ils appartients a cette association et a elle seule de trouver une issue
Aussi je lance un appel aux ;Freres AIT-CHEGOU - BELAMINE - BENYAHIA - TOUTA - BAKOU - TOUBALINE - AMIROUCHE - OURAMDANE - TELDJA - CERBAH - SAFSAFI - BEDJAOUI - KAOUA - etc......de prendre contact avec Monsieur RABRAB Issad et non Omar de lui expose le probleme et je suis sur qu'il ecoutera avec attention leur doleances et je crois qu'une solution a la crise sera trouve
VIVE LE RCKOUBA VIVE LE RCKOUBA ya khelatines votre place se trouve devant oued el Harrach car au niveau du club il n'y a pas de place pour vous meme pas un stapentins j'attends une reponse de la part des supporters
Je suis tout à fait d'accord avec stranger, j'ajoute juste que les vrais amoureux du club ont dit merci à Rebrab pleins de fois, même dans les chansons, mais apparemment celui-ci n'entend, je pense que c'est tout ce que peuvent rendre des supporters de clubs à un président et sponsor.
Même en étant déçu, je dis merci à tout ceux qui de loin ou de prêt travaillent avec honnêteté et sincérité pour le bien du club, avec ou sans argent.
VIVE RCK même s'il s'avèrent jouer en dernière division.
On doit tourner la page et accepter notre sort tout en soutenant
Le plus bel hommage que nous puissions rendre à un auteur n'est pas de rester attachés à la lecture de ses pages, mais plutôt de cesser inconsciemment de lire, de reposer le livre, de le méditer et de voir au-delà de ses intentions avec des yeux neufs...
vive KOUBA vive notre club
les grands clubs ne meurent jamais ya MR REBRAB ...
exmirou
SAF & OUBRAHEM & BELKHIR & IOUALALEN Family
Une seule main ne peut applaudir. vous avez raison Monsieur le président tenez notre main et réalisons le projet ensemble.
la minorité des khalatines ne changera en rien à notre amour pour le RCK.
Je suis d'accord avec toutes les initiatives contructives pour aider mon équipe.
Madani
salem
khoya sa fait un grand plaisir de lire tous se qui ce passe sur mon cher club RCK
in chaalah une victoire contre chlef
mous de lyon
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