|RCK| RAED CHABAB KOUBA |RCK|

|RCK| RAED  CHABAB  KOUBA |RCK|

samedi 19 juillet 2008

Le TAS donne raison au RCK

Le tribunal arbitral du sport a rendu public sa décision sur l'affaire Khellidi , en faveure du RCKouba.Et a demandé au bureau fédéral de revoir sa décision et d'annuler l'application de l'article 97 b. Ce qui permettra,de ce fait, à Kouba de récupérer 7 précieux points et d'accéder en D1 à la troisième place du classement de la superdisvision.

Nous reproduisons aussi dans cet article ,le commentaire complet publié par Jamel dans le message précédent,avec tout nos remerciements.

Dans une longue correspondance adressée hier aux parties concernées (FAF-RCK), le TAS souligne : « Après étude du dossier au fond : s’agissant d’un cas inédit d’usurpation d’identité avec des documents administratifs officiels non prévu par les règlements généraux de la FAF, le TAS en formation plénière et étude appuyée des arguments des parties se déclare incompétent sur cette affaire en l’état, et demande au président de la FAF, conformément à l’article 199 des règlements généraux de la FAF, de s’auto-saisir afin de trouver une solution juste et conforme au droit. » Première constatation, le TAS écarte la qualification de dissimulation (article 97 alinéa b) par lequel la commission règlements et qualification (CRQ) de la ligue nationale a traité les réserves formulées par l’USMH à l’encontre du joueur Khellidi (RCK).

Pour lui, ainsi que de nombreux observateurs, il ne s’agit nullement d’une dissimulation. Le TAS a, fort logiquement, requalifié la chose dans le terme le mieux approprié, à savoir « usurpation » qui n’est pas prévu dans les textes réglementaires de la FAF. Autre fait. Le TAS a reconnu le caractère « exceptionnel » de cette affaire et évoque « un cas inédit d’usurpation d’identité avec des documents administratifs officiels, non prévu par les règlements généraux de la FAF ». Ce passage réconforte le RCK dans ses droits et sa revendication depuis les premiers jours de l’affaire. Le club a plaidé sa bonne foi et le TAS appuie cette revendication légitime lorsqu’il précise « usurpation d’identité avec des documents administratifs officiels ». Sur ce chapitre précis, le RCK sort renforcé dans sa profonde conviction que ni lui, ni tout autre club, ne peut parer à pareille situation à laquelle il a été confronté à partir du moment où le joueur a présenté des « documents administratifs officiels » (dixit le TAS). La responsabilité du club est totalement dégagée dans ce qui est arrivé.

Tout comme les structures qui gèrent le football (FAF-LNF) qui ne disposent d’aucun moyen pour contrecarrer ce type de situation malheureuse. C’est sur cette base que la CRQ aurait dû étudier cette affaire et faire ainsi l’économie d’une perte de temps et d’énergie aux parties concernées. Dès le départ, les données étaient claires et les bonnes et logiques réponses résidaient dans quelques-unes des sanctions prévues par l’article 97 alinéa b, à savoir la « suspension pour une durée de 15 matches du capitaine d’équipe et de l’entraîneur ». Pourquoi le législateur a proposé cette lourde sanction à l’encontre des deux personnes citées (capitaine et entraîneur) ?

La réponse coule de source. Dans le cas d’une dissimulation d’identité (c’est sous cet angle que l’affaire a été traitée), le capitaine et l’entraîneur sont automatiquement au parfum de la « tricherie » qu’ils cautionnent parce que l’élément X de l’effectif a troqué l’identité de l’élément Y du même effectif pour participer à la rencontre. Nous sommes très loin de ce cas de figure dans cette affaire. Le TAS mentionne qu’il s’agit « d’un cas inédit d’usurpation non prévu par les règlements généraux de la FAF » et demande donc fort logiquement au président de la fédération de s’auto-saisir du dossier « afin de trouver une solution juste et conforme au droit ». Généralement, lorsque de pareils cas surgissent et ne sont pas prévus par les règlements généraux de la FAF, celle-ci dispose de toute latitude pour s’appuyer sur les règlements internationaux (FIFA) pour trouver une solution à des cas « non prévus par les règlements généraux de la FAF ». A titre d’exemple, la France et l’Italie ont vécu pareille situation. En aucune manière, les clubs n’ont été pénalisés pour des fautes commises à leur insu par des joueurs.

A tous les coups, ce sont les joueurs fautifs qui sont sanctionnés. Jamais les clubs parce que leur bonne foi n’a jamais été mise en doute. Les Koubéens attendent et espèrent beaucoup de Hamid Haddadj, président de la FAF. Ils veulent une juste réparation de ce que eux et leur club ont enduré depuis la fin du mois de mai dernier.
*source elwatan

5 commentaires:

Unknown a dit…

BONJOUR
encore une fois je précise que je suis un fervent supporter du club Rckouba malgré mon éloignement de mon quartier d'origine ( El Bahia) et comme je suis de très prés l'évolution de notre cher club à travers Internet et les blogs de certains ouled el houma que je remercie au passage à leur tête Samir, toute fois que fut mon étonnement en se connectant ce matin pour consulter le site du journal compétition..... aucun article sur la décision du TAS qui a rendu son verdict hier soir. ma conclusion est que ces journalistes soutiennent le club harrachi à 100%,ils l ont déjà démontré à travers leurs précédents articles ,dommage pour ce journal parce qu'il perd de sa crédibilité et je lirais plus jamais leurs articles,.merci de m'avoir lu.
Jamel de Suisse

Unknown a dit…

Bonjour
jugez par vous même l'article paru sur le site du journal compétition et dites moi si ces pseudos journalistes ne sont pas pro harrachis.....
Le tribunal arbitral sportif (TAS) vient de rendre, enfin, son verdict dans l’affaire Khelidi opposant l’USMH et le RCK. Le TAS déclare son «incompétence» et suggère, entres plusieurs mots, qu’il s’agit d’une «usurpation» d’identité. Il renvoie directement vers l’application d’un autre article recommandant à la FAF de ne pas ôter de points au RCK et de se contenter de la sanction du capitaine d’équipe et du coach. Et derrière le TAS, quelle version après ? La Fédération algérienne de football (FAF) le dira. Mais à en croire une source bien informée, la décision du TAS n’y changerait rien. Il reste deux semaines pour le début du championnat, les gens parient que la première journée de D1 débutera avec un certain USMH-MCA…

qu en pensez vous?j'attends des réponses SVP.

Rafik a dit…

tout à fait d'accord avec vous cher ami, nous avons même déja envoyé à divers organes de presse un message dénoncant ce type d'articles partisans et loin de l'éthique journalistique! ! ! nous espérons quand même que malgré la féroce campagne de presse notre club recouvrera ses droits ! !

Unknown a dit…

Je viens de lire un article sur le site de l'expression et au passage je remercie son éditeur Rafik SELMI vu que son analyse ne devrait pas laisser indifférent le président de la FAF, M.Hamid HADDADJ.(enfin je l'espère).

Le TAS estime qu’il «s’agit d’un cas inédit d’usurpation d’identité avec documents administratifs officiels non prévus par les règlements généraux de la FAF...» et il demande «au président de la FAF de s’auto saisir du dossier comme le stipule l’article 199 des règlements généraux du football algérien afin de trouver une solution juste et conforme au droit». L’article en question indique qu’«en cas de violation manifeste des règlements généraux par l’une des structures gestionnaires du football, le droit est conféré au président de la Fédération de s’auto saisir de toute affaire traitée à laquelle il donnera la suite qu’il convient.» Il s’agit, maintenant de savoir si dans ce cas précis, il y a eu «violation manifeste des règlements généraux» par la Ligue nationale ou par la commission de recours de la FAF, le deux instances qui ont eu à étudier le dossier Khelidi. Dans l’esprit du président de la FAF, il semblerait que non, sinon pourquoi aurait-il confirmé en Bureau fédéral la décision prise par la commission de recours? Il avait, à ce moment-là, l’opportunité de faire jouer l’article 199. Il ne l’avait pas fait certainement parce qu’il avait estimé que la sentence de la commission de recours était justifiée. Aujourd’hui, le président de la FAF, M.Hamid Haddadj, déplore le fait que le TAS ait fait état de son «incompétence» et lui renvoie le dossier. Il affirme que «pour dénouer cette affaire, il y aura une application stricte des règlements». Une déclaration qui ne plaide pas en faveur du club koubéen car les seuls règlements que l’on connaisse en la matière, ce sont les règlements généraux du football algérien dans lesquels l’article 97, alinéa B, de son Code disciplinaire stipule que «un club faisant jouer un joueur dissimulant son identité aura match perdu». L’article ne fait aucune référence au club dont la bonne foi a été trompée, ni au cas d’une fraude tolérée par l’administration algérienne. Dans le fond, le RCK peut dire qu’il est dans le vrai, mais l’USMH également, d’autant que les cas de jurisprudence de clubs ayant perdu des matchs par pénalité pour avoir aligné des joueurs ayant fraudé sur leur identité, existent. Et ces clubs-là, comme le RCK, ont été trompés dans leur bonne foi car il nous étonnerait fort qu’une équipe prendrait le risque de faire jouer sciemment un joueur fraudeur.
Il reste que, dans cette affaire, il y avait au moins une personne qui savait que Khelidi jouait sous l’identité d’un autre. C’est...Samir Khelidi lui même. Il savait, pertinemment, que ce qu’il faisait était dangereux pour son club. Il aurait, donc, dû avertir, en toute conscience, ses dirigeants pour qu’ils prennent leurs dispositions comme celle consistant, -puisque le changement d’identité était toléré (selon les dires du joueur) par l’administration algérienne-à demander à la Ligue nationale et à la Fédération une dérogation.
Au-delà, maintenant de ce qui peut se passer, il faut tenir rigueur à la Ligue nationale et à la Fédération de n’avoir pas fait valoir leur autorité. L’USM El Harrach avait, peut-être raison dans cette affaire, ses dirigeants auraient dû s’en tenir à attendre que le verdict soit prononcé d’une manière sereine. Or, cela ce n’est pas du tout de cette manière que s’est passé puisque, pour la première fois dans l’histoire du football algérien, des dirigeants de clubs et leurs supporters ont fait usage de la menace pour obtenir gain de cause. Le président de la commission des règlements et qualifications avait clairement signifié sur les ondes de la Radio, avoir statué sous la menace. La Ligue nationale n’aurait, donc, jamais dû entériner cette décision et aurait dû demander un réexamen de l’affaire dans le calme et loin de toute pression. Non seulement elle ne l’a pas fait, mais elle a été suivie par la FAF qui a agi comme si l’usage de la menace était normal. Si demain les dirigeants d’un autre club venaient à opérer de la même manière, ils auraient, entièrement raison. Le plus cocasse serait que ce club fasse pression sur la Ligue nationale au détriment du club harrachi. On verrait, alors, si les dirigeants de l’USMH accepteraient qu’on use de menace pour faire perdre leur club. Le drame est que ni la LNF, ni la FAF n’a jugé utile de saisir les tribunaux alors qu’il y a eu des dégâts dans le siège et agression contre des employés de la Ligue. Tout ce que la LNF s’est contentée de faire c’est de sanctionner le vice président et le secrétaire général du club harrachi et de faire payer 250.000 dinars à ce dernier. Toute cette histoire reflète le déplorable état dans lequel se trouve le football algérien où chacun croit qu’il a raison alors qu’il est dans le faux. On menace, on exerce des pressions, on fait jouer des joueurs sous une fausse identité, tout cela n’est que le produit d’un sport bien malade et qui a besoin d’un remède de longue haleine pour s’en sortir.

Unknown a dit…

L’objectivité et la neutralité ne sont elles pas les caractéristiques de l’éthique du journaliste ?
De deux choses l’une, ou les journalistes du journal compétition n’ont jamais eu de formation journalistique ou alors eux -même font preuve d’usurpation d’identité afin de s’octroyer une profession dont ils ne connaissent nullement les rouages.
Ces soit disant journalistes font tout simplement ce que l’ on appelle en langage journalistique : de la désinformation. En effet, :il est facile de sortir les mots de leur contexte pour amener le lecteur et le monde sportif à comprendre tout ce que l’ont veut.
Le journaliste de compétition écrit ceci : « Le tribunal arbitral sportif (TAS) vient de rendre, enfin, son verdict dans l’affaire Khelidi opposant l’USMH et le RCK. Le TAS déclare son «incompétence» et suggère, entres plusieurs mots, qu’il s’agit d’une «usurpation» d’identité. »
Il est clair qu’en lisant cela on en vient à conclure que la faute revient au RCKOUBA.Or, voici la phrase qui reprend la décision finale du TAS :
« le TAS en formation plénière et étude appuyée des arguments des parties se déclare incompétent sur cette affaire en l’état, et demande au président de la FAF, conformément à l’article 199 des règlements généraux de la FAF, de s’auto-saisir afin de trouver une solution juste et conforme au droit. »

« il s’agit d’un cas inédit d’usurpation d’identité avec documents administratifs officiels non prévus par les règlements généraux de la FAF...».

Si ce journaliste n’a pas compris la décision du TAS , celui ci évoque clairement le cadre juridique de la délivrance de vrais faux papiers ce qui entraîne de fait une plainte qui doit demeurer caduque à l’encontre du club.
Lorsque le journaliste écrit : « entre plusieurs mots », il s’agit en fait de la volonté de cacher les informations nécessaires à la compréhension de la décision du TAS lequel indique clairement qu’il s’agit « d’usurpation d’identité avec documents administratifs officiels », ce qui signifie l’opposé de ce qu’ écrit ce journaliste.
De même, le TAS se déclare incompétent mais demande au président de la FAF : « de s’auto-saisir afin de trouver une solution juste et conforme au droit. ».
Ce qui veut dire que le RCKOUBA doit récupérer ses points perdu par les mauvaises décisions et en reprenant la phrase dun journaliste sois disant objecif : « Il reste deux semaines pour le début du championnat, les gens parient que la première journée de D1 débutera avec un certain RCK. MCA…. » !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!.

RCK 1987/1988 SALAH ASSAD